Plainte relative à la constatation d’illégalité dans des affaires concernant des contacts avec un mineur

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L’un des recours extraordinaires prévus dans les procédures civiles (y compris en matière familiale) est celui réglementé à l’art. L’article 424(1-12) du Code de procédure civile concerne une plainte visant à déterminer l’illégalité d’une décision judiciaire définitive. Conformément à l’art. L’article 424(1) §§ 1-2 du Code de procédure civile prévoit qu’une telle plainte peut être déposée contre un jugement définitif du tribunal de deuxième instance concluant la procédure dans une affaire si le prononcé d’un tel jugement a causé un préjudice à la partie et que la modification ou l’annulation de ce jugement au moyen d’autres recours légaux à la disposition de la partie en vertu du Code n’était pas et n’est pas possible.

Dans des cas exceptionnels, lorsque l’illégalité résulte d’une violation des principes fondamentaux de l’ordre juridique ou des libertés constitutionnelles ou des droits de l’homme et du citoyen, il est également possible de demander une déclaration d’illégalité d’un jugement définitif du tribunal de première ou de deuxième instance concluant la procédure dans l’affaire, si la partie n’a pas utilisé les voies de recours à sa disposition, à moins qu’il ne soit possible de modifier ou d’annuler le jugement par d’autres voies de recours à sa disposition.

Les contacts entre un parent et un enfant mineur peuvent être établis, en règle générale, soit par un jugement du tribunal (par exemple dans une affaire de divorce ou de séparation), soit dans le cadre d’une procédure de contact non contentieuse. Après la conclusion définitive de la procédure au cours de laquelle des contacts ont été établis, un parent qui estime que dans une affaire judiciaire légalement conclue sur les contacts, il ou elle a été lésé ou qu’il y a eu une violation grave de la loi peut-il déposer une telle plainte extraordinaire et exiger une indemnisation ou

Un élément essentiel caractérisant ce recours juridique est que la décision contestée a causé un préjudice au plaignant ou a violé des principes fondamentaux de l’ordre juridique ou des libertés constitutionnelles ou des droits de l’homme et du citoyen. Le dommage doit être justifié.

En ce qui concerne la recevabilité d’une plainte visant à établir l’illégalité d’un jugement réglementant les contacts, la Cour suprême, dans l’un de ses arrêts, s’est prononcée sans équivoque contre une telle possibilité, confirmant la ligne jurisprudentielle antérieure. Il était indiqué dans la justification que : « les éléments structurels d’une plainte visant à déterminer l’illégalité d’un jugement définitif comprennent : (…) la démonstration que la révocation du jugement contesté dans le cadre d’une autre procédure n’était pas et n’est pas possible. (…) En particulier, dans les procédures gracieuses, comme dans cette affaire, des mesures supplémentaires sont prévues pour permettre au tribunal de modifier les décisions rendues. Cette catégorie de solutions juridiques comprend l’article 577 du Code de procédure civile, selon lequel le tribunal des tutelles peut modifier sa décision, même définitive, si le bien de la personne concernée par la procédure l’exige. Par conséquent, la décision contestée n’est pas une décision irrévocable. Cette question a déjà été tranchée par la jurisprudence de la Cour suprême, qui a indiqué que la possibilité de modifier ou d’annuler une décision définitive relative aux contacts avec un enfant exclut la recevabilité d’une plainte visant à déterminer son illégalité. » (voir : justification écrite de la décision de la Cour suprême du 17 octobre 2024, numéro de référence I CZP 76/24 et les décisions de la Cour suprême citées). là-dedans).

À la lumière de ce qui précède, comme l’a établi la jurisprudence de la Cour suprême, il convient de préciser clairement qu’un parent insatisfait d’une décision finale sur les contacts avec un mineur ne peut pas faire usage d’une plainte pour une déclaration d’illégalité de la décision finale et des instruments de protection juridique disponibles dans le cadre de ce recours. L’action correcte visant à modifier ou à révoquer une décision judiciaire définitive établissant des contacts est une demande de modification d’un jugement définitif du tribunal des tutelles, prévue à l’art. 577 du Code de procédure civile, selon lequel dans une telle procédure, il est nécessaire que la personne qui demande le changement démontre que le changement souhaité est justifié par le bien de la personne concernée par la procédure, qui dans la doctrine et la littérature est interprété, en règle générale, comme le bien d’un enfant mineur ou d’une autre personne soumise à la tutelle.