Pénalités administratives

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Le 1er juin 2017, la modification du code de procédure administrative (adoptée le 7 avril 2017) est entrée en vigueur dans la section IVa du code, qui réglemente de manière exhaustive la question des amendes administratives:

  • le champ d’application des dispositions,
  • définition juridique de la sanction administrative,
  • directive sur l’imposition d’une pénalité,
  • renoncer à l’imposition d’une pénalité,
  • limitation de l’imposition de la peine et de son exécution, et
  • soulagement d’imposer une pénalité.
  1. Le champ d’application des dispositions
    La nouvelle réglementation devrait s’appliquer tant pour les cas mortels survenus après l’entrée en vigueur de la loi que pour ceux d’avant l’entrée en vigueur, à moins que le statut juridique en vigueur en l’heure de l’événement est plus relative au sujet.
    S’il existe des dispositions distinctes régissant les sanctions administratives spécifiques, la réglementation de la section IVa ne s’applique que de manière subsidiaire. Il n’est pas utilisé dans lorsque l’organisme décide sur la base des dispositions suivantes:
    • procédure dans les affaires concernant des délits mineurs,
    • responsabilité disciplinaire,
    • la responsabilité de la commande,
    • responsabilité pour violation de la discipline des finances publiques.
  2. La définition légale de l’amende administrative
    L’article 189b introduit une définition juridique selon laquelle la sanction pécuniaire administrative est une sanction pécuniaire imposée par une décision d’une autorité de l’administration publique pour violation de la loi par une personne physique ou morale ou par une personne morale imparfaite (non-respect des obligations ou violation de l’interdiction). En outre, conformément à l’art. 189 e, la partie n’est pas punie si la violation est due à un cas de force majeure. Si la partie retarde le paiement du montant dû, l’intérêt pour le retard dans le montant applicable aux arriérés d’impôts est ajouté au montant.
  3. Directives sur l’imposition d’une sanction
    Lorsqu’elle inflige une sanction, l’autorité prend en compte: les valeurs personnelles du contrevenant (personne physique), le degré de contribution à l’infraction, le bénéfice obtenu de la violation, les mesures prises par la partie pour traiter ou éliminer les effets de la violation; la gravité et les circonstances de la violation (en particulier la menace pour la vie et la santé) et les violations similaires commises par la partie dans passé (également condamnations pour crimes et délits).
  4. Retrait de l’imposition d’une peine
    La section IVa introduit le principe d’opportunisme lorsqu’une sanction administrative est infligée. Il se manifeste dans le but de se soustraire à la peine et de s’arrêter aux instructions lorsque l’ampleur de l’infraction est négligeable et que la partie cesse de violer la loi ou si la partie a déjà été punie pour le même comportement (dans le cadre d’une procédure administrative, pénale ou délictuelle) et que la sanction répond déjà aux objectifs se conformer à la sanction administrative (la structure est très similaire à la radiation d’absorption).
    En outre, si les locaux susmentionnés ne se matérialisent pas, mais „cela permettra de répondre aux objectifs pour lesquels une amende administrative serait infligée”, l’autorité prend une décision ordonnant à la partie de fournir des preuves du retrait de l’infraction ou de la notification des contrevenants. Si la partie présente de telles preuves, l’autorité rendra des décisions de renonciation à la sanction.
  5. Limite a) Limite de l’imposition d’une peine
    La carte ne peut pas être imposée 5 ans après la date de la violation ou les conséquences de sa survenance. Ce délai est interrompu en cas de faillite et suspendu en cas de: recours, revendication de l’existence d’un lien de dépendance (tribunal ordinaire), constitution d’une sûreté aux termes des dispositions relatives à l’exécution administrative.
    b) Limite d’exécution L’astreinte administrative n’est pas exécutoire si cinq années se sont écoulées depuis le jour où elle devait être exercée. Le délai est interrompu en cas de: déclaration de faillite, application d’une mesure d’exécution dont il était obligé de notifier ou la constitution d’une sûreté conformément aux dispositions relatives aux procédures d’exécution en matière administrative.
  6. Soulagement dans l’exécution de la peine
    L’autorité peut accorder une concession pour l’exécution d’une sanction (c’est-à-dire une décision facultative ou discrétionnaire) si les conditions sont remplies: la partie a présenté une demande de concession qui est justifiée par un intérêt public ou privé important. Il convient de rappeler que, dans le cas d’entités exerçant une activité commerciale, une telle concession ne peut être accordée que si elle ne constitue pas une aide d’État ou ne constitue pas une aide publique de minimis ou une aide publique répondant aux exigences de l’art. 189k par 3 point 3 (le redressement vise à réparer les dommages causés par des catastrophes naturelles (ou d’autres événements exceptionnels), à remédier aux graves perturbations de l’économie et dans le même temps, conformément aux principes du marché intérieur de l’UE).
    La loi prévoit un catalogue fermé de formulaires en relief, à savoir:
    • reporter la date de l’amende administrative ou la répartir en plusieurs versements;
    • reporter la date limite pour l’achèvement d’une amende administrative en souffrance ou pour la répartir en plusieurs versements;
    • annulation totale ou partielle d’une amende administrative (les intérêts sont également amortis proportionnellement au montant du principal amorti)